Sunday, November 4, 2007

Darra Dance Works in Progress

Short Take:
Parce que l’artiste est de Côte d’Ivoire, j’écrit ce revue en français; jujustring ne parle pas les langues indigènes de Côte d’Ivoire, et l’anglais est peut-être la quatrieme langue de l’artiste, alors j’essais de le rencontre au milieux. English translation below.

Nouveau. Ca c’est le mot juste pour les danses de Michel Kouakou Darra. Il a eu trois pieces en progrès au Dance Theater Workshop le 18 et 19 d’Octobre. En les deux danses pour ensembles, “Breakthrough” et “Crazy Dog/Wouru Fato” il y avait des duets extraordinaire, très physicales, très énergetique. Sa choréographie ultlisé l’inspiration de la danse africaine, mais aussi de breakdancing, et bien sûr de la danse moderne. Les danceurs étaient bons, et ils travaillaient très dur, mais malheureusement le plus loin de moderne étaient les mouvements, les plus lourds les pieds des danseurs. Peut-être c’était parce qu’ils étaient très jeunes, ou parce qu’ils ont eu seulement deux semaines avec les pièces. Mais j’espère que la prochaine fois Darra aura des danseurs plus souples.

Le solo “Behind Me” était merveilleux. “Breakthrough” et “Crazy Dog/Wouru Fato” avait des tons légers, pourtant “Behind Me” etait serieux. Mais c’ étaient pas de tout pire pour ça! Darra est un maître des mouvements petits; pour les premiers minutes, il a fait des mouvements soulements avec les maîns…

Si vous avez l’occasion, soyez sûr de voir Darra Dance.


Since the artist is from the Ivory Coast, I originally wrote this review in French; jujustring doesn’t speak any of the other languages from Ivory Coast, and English is probably Darra’s fourth language, so I tried to meet him in the middle.

New. That’s the right word for Michel Kouakou Darra’s dances. He showed three works-in-progress at Dance Theater Workshop on 18 and 19 October. In the two group pieces, “Breakthrough” and “Crazy Dog/Wouru Fato”, there were extraordinary duets, which were very physical and very energetic. His choreography is inspired by traditional African dance, but also by breakdancing, and of course by modern dance. The dancers were good, and they certainly worked hard, but unfortunately the farther from modern the movements, the heavier the dancers feet. Maybe it was because they were very young, or maybe because they only had two weeks with the pieces. But I hope the next time Darra’s work is performed, he has more versatile performers.

The solo “Behind Me” was marvelous. “Breakthrough” and “Crazy Dog/Wouru Fato” had a light tone, but “Behind Me” was serious. But the latter was not at all the worse for it! Darra is a master of little movements; for the first several minutes, he only moved his hands…

If you have the chance, be sure to see Darra Dance.